Les 10 ans de Grazia
Grazia Party à la Villa Montmorency
Le magazine Grazia a fêté ses 10 ans, cette semaine, dans un très bel hôtel particulier de la Villa Montmorency.
Dans le quartier très sécurisé et très chic du 16ème arrondissement, de nombreux invités ont pu profiter d’une superbe soirée mémorable de fin d’été .
Décoration de graffitis, quelques people comme Cristina Cordula ou Michèle Torr, et de grandes tables signées Big Mamma Group pour le coté traiteur made in italy.
Musique et DJ et surtout dancers très branchés « voguing » …
A cette occasion, Grazia a sorti un numéro spécial anniversaire : « 10 années d’esprit décalé, d’irrévérence, de style comme langage de soi. Dans ce numéro anniversaire mais aussi spécial mode, on découvre les styles inattendus des muses du magazine : l’essentialiste, l’insoumise, la désinvolte, l’enlumineuse et l’extravagante.
Toutes ces femmes qui lisent Grazia depuis 10 ans : exigeantes, ouvertes et curieuses, qui se reconnaissent dans ce journal. A l’image finalement des modèles Viktoriia Gerasimova et Charlotte Tomas, héroïnes (parmi d’autres !) de ce nouveau numéro. »
Mini Bio de Grazia :
« Grazia est un magazine hebdomadaire féminin français spécialisé dans la mode, la beauté et les peoples. Lancé en 2009, il est édité par le groupe de presse Mondadori France (anciennement Emap France), numéro 3 de la presse magazine française. Le titre est la propriété de Arnoldo Mondadori Editore, appartenant à Silvio Berlusconi et est édité à l’international dans 23 pays. Au printemps 2012, Christine Regnier – anciennement rédactrice en chef de Biba, autre publication du groupe Mondadori France – reprend le poste de rédactrice en chef de la version française.
Depuis 2014, Joseph Ghosn s’occupe de la rédaction de l’hebdomadaire. »
Villa Montmorency :
La villa Montmorency est une villa (résidence fermée) située sur une butte du quartier d’Auteuil dans le 16e arrondissement de Paris. Le lieu est limité par la rue Poussin au sud, la rue Bosio au sud-est, la rue Raffet au nord-est et le boulevard de Montmorency au nord-ouest.
La Villa Montmorency est composée de 6 avenues :
- l’avenue de Montmorency,
- l’avenue du Square,
- l’avenue de Boufflers,
- l’avenue des Sycomores,
- l’avenue des Tilleuls,
- et enfin l’avenue des Peupliers.
Le terrain appartient à l’origine à comtesse de Boufflers-Rouverel, une libertine proche de la reine Marie-Antoinette. Acquis en 1773, il porte le nom de clos d’Aligre. La villa est créée lors de l’achat en 1852 par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Saint-Germain, dirigée par des frères Pereire, du château de Boufflers et de son parc (œuvre de Jules Hardouin-Mansart) à la famille de Montmorency, en vue de réaliser la gare d’Auteuil et un projet immobilier de luxe. Les frères Pereire conservent le nom de « Montmorency » afin d’attirer une clientèle huppée.
Le 1er règlement interdit l’accès des lieux aux « individus tenant guinguette ou bal public et aux femmes de mauvaise vie ».
La villa constituée d’une cinquantaine de maisons séparées par des allées (avec une place centrale comprenant une fontaine) est bâtie en 1860 d’après les plans de l’architecte Théodore Charpentier.
Cet espace privé de « maisons unifamiliales de campagne et d’agrément » a des règles de copropriété strictes et contraignantes définies dans le cadre d’une association syndicale qui gère l’ensemble depuis 1853 (interdiction pour les employés de maison d’entrer avec un véhicule, interdiction de diviser les villas en plusieurs locations — chaque appartement doit faire au minimum 150 m2 —, hauteur maximale de 9 mètres pour les maisons, harmonisation obligatoire des façades, etc.). Un gardien à l’entrée en contrôle l’accès en vérifiant les permissions d’y pénétrer.
Le style architectural général rappelle les villas balnéaires de Deauville ou d’Arcachon fin XIXe siècle. En 1873, Victor Hugo s’installe 3 mois dans une maison de la villa Montmorency, accompagnant son fils François-Victor interné à l’Institut du docteur Blanche.
Au début du XXe siècle, André Gide y fait construire un chalet moderniste qu’il juge lui-même assez laid et y mène une vie d’ermite, recevant en 1916 par hasard le poète Guillaume Apollinaire, revenu des tranchées. Après la guerre, ses voisins vont poser des serrures sur les entrées de la villa, officiellement pour prévenir la présence de prostituées à la suite de la destruction de l’enceinte de Thiers, officieusement pour protester contre Gide, qui laissait les patients de la Fondation italienne, une clinique du quartier désormais fermée, se promener dans les allées.
C’est à partir des années 1970 que des personnalités du monde du spectacle commencent à y vivre, rejointes à partir des années 1980 par des grands entrepreneurs et leur famille, le caractère fermé de la villa s’accentuant avec la montée des prix de l’immobilier dans les années 2000. Si la sécurité est assurée par un grand nombre de gardes, elle a montré plusieurs défaillances : en 2003, une propriétaire est assassinée dans son appartement ; en 2005, des cambrioleurs ligotent Olivier-Clément Cacoub ; un autre cambriolage a lieu en 2008.
Le prix de l’immobilier est très élevé dans ce lotissement, du fait des nombreuses maisons à l’architecture remarquable qui le composent et surtout de son caractère privé qui en fait un refuge pour de nombreuses personnalités très fortunées. La villa compte désormais 120 maisons de maître. Cet ensemble est toutefois également habité par des petits propriétaires qui refusent de voir leurs charges augmenter inconsidérément. »
Infos Wikipédia
Le site internet du magazine :
https://www.grazia.fr/
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